Il est des situations où l’on est trop ému pour attendre la lente combinaison des mots. […] Le geste, l’attitude, le regard doivent donc alors précéder les paroles, comme l’éclair précède la foudre. Ce moyen ajoute singulièrement à l’expression, en ce qu’il décèle une âme si profondément pénétrée, qu’impatiente de se manifester ; elle a choisi les signes les plus rapides.
Mémoire sur Lekain et sur l’art dramatique / F. Talma
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