Bouleversée, elle se rendit au bureau du cimetière. Là, ils lui dirent qu’à l’expiration des concessions les tombes étaient automatiquement liquidées. […] De même qu’elle n’avait pu empêcher la mort de son mari, elle était sans défense devant cette deuxième mort, cette mort d’un vieux mort qui n’avait même plus droit à une existence de mort.
Que les vieux morts cèdent la place aux jeunes morts / Milan Kundera
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