Cela me fait penser à une plage, sur laquelle se précipitent des vagues de toutes tailles. Certaines nous viennent aux chevilles d’autres jusqu’aux genoux, d’autres nous font perdre pied, tandis que les plus fortes nous entraînent vers le large et nous rejettent ensuite sur le rivage.
La vague du subconscient ne fait parfois qu’effleurer l’acteur, puis se retire. Parfois, elle l’entourera complètement et l’entraînera dans les profondeurs, pour le rejeter à nouveau sur le rivage de la conscience.
La formation de l’acteur / Constantin Stanislavski
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