Depuis le début du film, mes larmes coulent, sans retenue. […]
Assis à mes côtés, tu me coules un regard amusé, nuancé d’étonnement. […]
Tu es adulte, tu a statué sur la frontière entre réalité et fiction, moi moins.
Même si la similitude qui lie mes émotions de cinéma à celles de ma vraie vie est parfois difficile à gérer, vouloir les distinguer en fonction de chacun de ces contextes reste en effet toujours pour moi de l’ordre du contresens.
Une sécheresse de cœur pareille, ce n’est pas possible / Esther Luette
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