Si le propos n’était très audacieux, je dirais que les plus beaux poèmes ne valent pas, pour un être vraiment épris, le balbutiement d’un aveu maladroit.
Journal d’un curé de campagne / Georges Bernanos
Lecteuse, Écriveuse, Acteuse
Si le propos n’était très audacieux, je dirais que les plus beaux poèmes ne valent pas, pour un être vraiment épris, le balbutiement d’un aveu maladroit.
Journal d’un curé de campagne / Georges Bernanos
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